Et si on arrêtait de demander à un jeune de 18 ans de choisir LE métier qu’il fera toute sa vie ? Dans un monde où les carrières ressemblent plus à des zigzags qu’à des lignes droites, certaines écoles ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps. L’ISEG vient de lancer une campagne nationale percutante qui ne fait pas que vendre une formation : elle pose un constat brut de décoffrage sur l’avenir du travail.

Et franchement, quand on voit les slogans en affichage sauvage et en DOOH dans huit villes de France, on se dit qu’ils ont tapé juste.

Une campagne qui cogne là où ça fait mal (et ça fait du bien)

Imaginez-vous dans le métro : un visuel géant, couleurs pop, typo assumée, et cette phrase en pleine face : « Vos parents ont eu un métier, vous en aurez plusieurs ». Pas de filtre, pas de langue de bois. Juste la réalité du marché de l’emploi 2025-2030.

Autres punchlines qui tournent en boucle :

  • « Avant l’école fixait un programme, aujourd’hui elle suit le vôtre »
  • « Parce que votre premier métier ne sera sûrement pas votre dernier »
  • « On ne forme pas des spécialistes, on forme des hybrides »

Conçue avec l’agence indépendante Josiane (oui, celle qui ne fait jamais comme tout le monde), cette campagne ne cherche pas à rassurer les parents. Elle cherche à réveiller les futurs étudiants… et ça marche.

« Les métiers évoluent, le marché change, et les étudiants auront besoin de combiner plusieurs expertises tout au long de leur vie. L’ISEG prépare ses étudiants à cette réalité depuis 45 ans. Cette prise de parole n’est pas une provocation : c’est un acte de lucidité. »

– Stéphanie Boisseleau, Directrice de la Communication Nationale de l’ISEG

Mais l’ISEG, c’est quoi au juste ?

Fondée en 1980, l’ISEG (Ionis School of Marketing & Communication) fait partie du groupe Ionis, le plus gros groupe privé d’enseignement supérieur en France. Présente dans 8 villes (Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Nice, Paris, Strasbourg, Toulouse), elle forme chaque année des milliers d’étudiants aux métiers du marketing, de la communication, du digital et de l’influence.

Mais là où beaucoup d’écoles restent sur un modèle très « à l’ancienne » (tronc commun + spécialisation figée), l’ISEG a choisi une voie radicalement différente : la pédagogie ouverte et les intelligences hybrides.

L’intelligence hybride, le vrai game-changer

On parle beaucoup d’upskilling et de reskilling, mais peu d’écoles le mettent vraiment au cœur de leur ADN. À l’ISEG, on ne forme pas des « community managers » ou des « chefs de pub » tout faits que l’on sort de la chaîne comme en 1995.

On forme des profils capables de :

  • Concevoir une stratégie social media un matin
  • Analyser des data Google Analytics l’après-midi
  • Pitcher un concept créatif à un client le lendemain
  • Et peut-être lancer leur propre side-project en NFT ou en IA générative le week-end

Cette hybridation n’est pas un gadget marketing : elle répond à une réalité chiffrée. Selon le World Economic Forum 2025, 50 % des salariés devront se reconvertir d’ici 2030. Et 85 % des métiers de 2030… n’existent pas encore aujourd’hui.

« Apprendre à apprendre » : la philosophie qui change tout

Le mantra de l’ISEG ? Apprendre à apprendre. Plutôt que d’imposer un parcours unique, l’école propose un socle commun solide les deux premières années, puis laisse l’étudiant construire son parcours comme un Lego géant.

Exemples de spécialisations possibles en 4e et 5e année :

  • Influence & Personal Branding
  • Marketing du Luxe & Mode
  • Data Marketing & IA
  • Création & Direction Artistique
  • Entrepreneuriat & Startup Studio
  • E-sport & Gaming Marketing

Et surtout, grâce aux partenariats intra-groupe Ionis, un étudiant ISEG peut piocher des cours à l’EPITA (IA, coding), à l’e-artsup (design) ou à l’ESME (ingénierie). Résultat : des profils ultra-polyvalents, exactement ce que recherchent les agences et les marques aujourd’hui.

Josiane + ISEG : le duo qui fait mouche

Choisir Josiane n’est pas anodin. L’agence parisienne, connue pour ses campagnes impertinentes (Remember « La vraie vie est plus belle sans filtres » pour Meetic ?), a parfaitement capté l’âme de l’ISEG : audace, liberté, vérité.

Le résultat ? Une identité visuelle pop, des messages qui claquent, et une campagne qui fait parler d’elle bien au-delà des campus. On a même vu les visuels repris en story par des influenceurs et des pros du secteur qui valident à 200 % le message.

Pourquoi cette réinvention arrive au bon moment

2025, c’est l’année où la Gen Z entre massivement sur le marché du travail avec des attentes radicalement différentes :

  • 87 % veulent un job qui a du sens (LinkedIn 2024)
  • 72 % envisagent déjà une reconversion avant 30 ans
  • 65 % préfèrent apprendre en continu plutôt qu’un diplôme unique

L’ISEG répond pile poil à ces aspirations. Et en communicant sans filtre, elle attire exactement le public qu’elle veut : des jeunes curieux, ambitieux, qui n’ont pas peur ni du changement ni de l’échec.

Et les résultats dans tout ça ?

L’école annonce un taux d’insertion pro de plus de 90 % à 6 mois, et surtout des alumni qui occupent des postes variés : DA chez BETC, Head of Social chez L’Oréal, fondateur de startup, créateur de contenu à 6 chiffres, etc.

Preuve que former des hybrides, ça paye.

Conclusion : l’école qui prépare vraiment au futur

Dans un paysage de l’enseignement supérieur souvent sclérosé, l’ISEG fait figure d’OVNI rafraîchissant. En assumant que le monde change à toute vitesse et en construisant une pédagogie autour de l’adaptabilité, elle ne forme pas seulement des marketeurs ou des communicants.

Elle forme des survivors du monde pro de demain.

Et ça, franchement, ça mérite qu’on en parle.