En ce 80ème anniversaire de la libération d’Auschwitz, l’application TikTok montre son engagement dans le devoir de mémoire de l’Holocauste. En partenariat avec le Congrès Juif Mondial et l’UNESCO, le réseau social vient de lancer un hub éducatif in-app regroupant des vidéos pédagogiques sur cette sombre page de l’Histoire. Une initiative importante à l’ère du numérique pour sensibiliser la jeune génération.
Un hub de vidéos pour éduquer sur l’Holocauste
Accessible directement depuis l’application, ce nouveau hub rassemble des vidéos provenant de plus de 20 institutions issues de 11 pays. Du Musée de l’Holocauste de Los Angeles au Mémorial de Dachau en passant par la Maison Anne Frank, ces organismes ont intégré TikTok dans leur travail de commémoration et d’éducation.
L’objectif est clair : atteindre de nouveaux publics, en particulier les jeunes, et préserver la mémoire du passé et de ses victimes à l’ère du digital. Les vidéos s’accompagnent de ressources complémentaires fournies par le Congrès Juif Mondial et l’UNESCO, ainsi que de liens vers des témoignages de survivants.
Lutter contre l’antisémitisme et la haine en ligne
Au-delà de ce hub mémoriel, TikTok participe à un événement organisé par le Congrès Juif Mondial en Pologne pour commémorer la libération d’Auschwitz-Birkenau. L’occasion de réunir survivants, familles, représentants de plateformes en ligne et experts académiques pour discuter des solutions contre l’antisémitisme et la haine sur Internet.
L’éducation est l’un des outils les plus efficaces pour combattre la haine. Nous sommes fiers de poursuivre notre partenariat avec le Congrès Juif Mondial, l’UNESCO et d’autres pour faire vivre la mémoire de l’Holocauste.
– TikTok
La plateforme rappelle que sa communauté mondiale s’épanouit grâce à la créativité et la diversité. Elle continuera à œuvrer pour offrir un espace sûr où les utilisateurs se sentent les bienvenus et libres de s’exprimer, de découvrir des idées et de se connecter.
Une modération renforcée du contenu
Cet engagement mémoriel intervient dans un contexte où TikTok doit faire face à de vives critiques sur sa modération des contenus sensibles. L’app, prisée des ados, a déjà instauré des règles strictes autour des discussions liées à l’Holocauste. Consciente des dérives possibles, elle veut ainsi s’assurer de protéger ses utilisateurs.
En parallèle de ce nouveau hub éducatif, TikTok affirme sa volonté de combiner technologie et modération humaine pour identifier et supprimer les contenus haineux, tout en sensibilisant sur ces sujets délicats. Un équilibre complexe entre liberté d’expression et responsabilité éditoriale.
L’IA au service de la mémoire
Face aux défis de modération à grande échelle, TikTok mise sur l’intelligence artificielle. Ses algorithmes doivent détecter proactivement les contenus problématiques liés à l’Holocauste (négationnisme, antisémitisme…) afin de les bloquer avant même leur signalement.
Mais l’IA apporte aussi de nouvelles perspectives pour perpétuer la mémoire des survivants. Le Congrès Juif Mondial planche sur des avatars virtuels de rescapés qui, grâce aux progrès de l’IA conversationnelle, pourront interagir avec les jeunes générations et répondre à leurs questions. Une manière innovante et interactive de transmettre ces précieux témoignages.
Réconcilier réseaux sociaux et Histoire
Avec ce hub mémoriel, TikTok veut montrer qu’au-delà des challenges et des vidéos légères, les réseaux sociaux peuvent être de puissants vecteurs de connaissance et de transmission. Intégrer le devoir de mémoire au cœur des nouvelles pratiques numériques est essentiel pour ne jamais oublier les leçons du passé.
Cette initiative met aussi en lumière le rôle crucial des institutions culturelles et mémorielles à l’ère digitale. En investissant les plateformes prisées des jeunes, elles réinventent les modes de médiation pour rendre l’Histoire plus accessible et résonante.
Reste désormais à suivre l’impact de ce nouveau hub : les vidéos parviendront-elles à capter l’attention volatile des utilisateurs de TikTok ? Susciteront-elles leur curiosité pour en apprendre davantage sur cette tragédie ? L’avenir nous le dira, mais cette démarche prouve que les réseaux sociaux peuvent aussi être un terrain d’éducation et de mémoire. Un enjeu crucial à l’heure de la désinformation et de la montée des extrémismes.
En parallèle de ce nouveau hub éducatif, TikTok affirme sa volonté de combiner technologie et modération humaine pour identifier et supprimer les contenus haineux, tout en sensibilisant sur ces sujets délicats. Un équilibre complexe entre liberté d’expression et responsabilité éditoriale.
L’IA au service de la mémoire
Face aux défis de modération à grande échelle, TikTok mise sur l’intelligence artificielle. Ses algorithmes doivent détecter proactivement les contenus problématiques liés à l’Holocauste (négationnisme, antisémitisme…) afin de les bloquer avant même leur signalement.
Mais l’IA apporte aussi de nouvelles perspectives pour perpétuer la mémoire des survivants. Le Congrès Juif Mondial planche sur des avatars virtuels de rescapés qui, grâce aux progrès de l’IA conversationnelle, pourront interagir avec les jeunes générations et répondre à leurs questions. Une manière innovante et interactive de transmettre ces précieux témoignages.
Réconcilier réseaux sociaux et Histoire
Avec ce hub mémoriel, TikTok veut montrer qu’au-delà des challenges et des vidéos légères, les réseaux sociaux peuvent être de puissants vecteurs de connaissance et de transmission. Intégrer le devoir de mémoire au cœur des nouvelles pratiques numériques est essentiel pour ne jamais oublier les leçons du passé.
Cette initiative met aussi en lumière le rôle crucial des institutions culturelles et mémorielles à l’ère digitale. En investissant les plateformes prisées des jeunes, elles réinventent les modes de médiation pour rendre l’Histoire plus accessible et résonante.
Reste désormais à suivre l’impact de ce nouveau hub : les vidéos parviendront-elles à capter l’attention volatile des utilisateurs de TikTok ? Susciteront-elles leur curiosité pour en apprendre davantage sur cette tragédie ? L’avenir nous le dira, mais cette démarche prouve que les réseaux sociaux peuvent aussi être un terrain d’éducation et de mémoire. Un enjeu crucial à l’heure de la désinformation et de la montée des extrémismes.
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