Face à l’urgence écologique, de plus en plus d’entreprises s’engagent dans des démarches concrètes pour réduire leur impact environnemental. C’est notamment le cas de la Matmut, compagnie d’assurance mutualiste française, qui a fait de la lutte contre la pollution plastique une de ses priorités dans le cadre de sa politique RSE. Zoom sur son dispositif phare, les marches vertes, qui mobilisent collaborateurs et grand public pour ramasser les déchets sauvages.

Un engagement de longue date contre la pollution plastique

Depuis 2019, la Matmut soutient l’expédition Plastic Odyssey. Ce navire parcourt le monde pendant 3 ans à la recherche de solutions pour empêcher les déchets plastiques de se déverser dans les océans. Au programme : incubation de projets d’entrepreneurs et installation de micro-usines de recyclage dans plusieurs pays.

En parallèle, la Matmut organise chaque année depuis 2022 ses marches vertes, des opérations de ramassage de déchets sauvages ouvertes à tous. L’édition 2023 a mobilisé 500 participants dans 5 villes, permettant de collecter 3,5 tonnes de déchets.

Un déchet jeté par terre, en France, peut voyager à l’autre bout du monde, et dégrader la biodiversité. Chacun, à son échelle, peut agir, pour limiter le fléau de la pollution plastique.

– Stéphanie Boutin, membre du Comex du Groupe Matmut

Les marches vertes 2024 s’étendent à 10 villes

Fort du succès des précédentes éditions, la Matmut double le nombre de villes participantes pour les marches vertes 2024. Elles auront lieu le samedi 25 mai de 14h à 17h dans les agglomérations suivantes :

  • Bordeaux
  • Lyon-Villeurbanne
  • Marseille
  • Tours
  • Rouen
  • Lille
  • Rennes
  • Vincennes
  • Toulouse
  • Metz

Les cleanwalks sont organisées en partenariat avec trois associations locales reconnues pour leur engagement environnemental : Wings of The Ocean, Clean My Calanques et Cleanwalker. Les inscriptions se font dans la limite des places disponibles.

Une campagne d’envergure pour sensibiliser le grand public

En amont de l’événement, la Matmut a déployé une vaste campagne de communication pour toucher un maximum de personnes :

  • Affichage urbain dans 7 villes avec 539 faces de 2m2 jusqu’au 22 mai
  • Affichage digital (DOOH) dans 8 villes avec 126 écrans 10 secondes
  • Déploiement sur les réseaux sociaux dès juin de formats variés : infographies animées avec astuces anti-plastique, vidéos « Plastic Facts » démystifiant des légendes urbaines, micro-trottoirs « Micro Plastic » pour sonder et informer l’opinion

L’objectif est d’acculturer le public à la problématique de la pollution plastique dans une ambiance positive et conviviale, comme le souligne Stéphanie Boutin. L’impact sera d’autant plus grand qu’il est le fruit d’une mobilisation collective.

Au-delà des cleanwalks, un soutien sur tous les fronts

L’engagement de la Matmut va plus loin que les marches vertes annuelles. Elle a par exemple participé en avril à l’opération « Le Nettoyage de l’Impossible » sur l’île Henderson, classée à l’UNESCO. En 5 jours et dans des conditions hostiles, 9 tonnes de déchets plastiques y ont été extraites.

En agissant à la fois en amont, via la R&D et l’entrepreneuriat avec Plastic Odyssey, et en aval avec des actions de terrain comme les cleanwalks, la Matmut s’attaque sur tous les fronts à ce fléau environnemental. Une approche systémique indispensable pour espérer endiguer la pollution plastique durablement.

Avec cet ambitieux programme, l’assureur mutualiste montre que la transition écologique n’est pas qu’une affaire de grands discours, mais se joue aussi dans des gestes concrets. Un exemple inspirant à suivre pour toutes les entreprises souhaitant contribuer à préserver la planète.